DR. JULIA HOENG - DIRECTRICE DE LA TOXICOLOGIE SYSTÉMIQUE, PHILIP MORRIS INTERNATIONAL
J'ai étudié la biologie, la biochimie, les mathématiques et l'informatique, et ai obtenu mon doctorat à l'université de Cambridge. En 2008, lorsque j'ai appris que Philip Morris International (PMI) construisait un nouveau laboratoire pour évaluer ses produits créés pour un avenir sans cigarette, j'ai dit : « J'en suis ».
Les résultats positifs des premières études sur les différences entre la fumée de cigarette et l'aérosol de nos produits sans combustion donc sans fumée, délivrant de la nicotine ont été très encourageants. Nous avons reçu tellement de résultats positifs, et pourtant nous n'étions encore qu'en phase de création. Et après ? Nous avons dû redoubler de courage : Ne vous inquiétez pas, regardez simplement les données.
La toxicologie systémique est un domaine de travail passionnant et dynamique, mais elle génère des téraoctets de données. En effet, elle allie la toxicologie standard à des techniques nouvelles et diverses pour nous aider à mieux comprendre l'impact des substances nocives sur l'organisme. Travailler avec de tels blocs de données est un véritable défi pour toutes les applications de la toxicologie systémique, et pas seulement pour la réduction des risques liés au tabac. C'est pourquoi nous partageons nos données et nos méthodes en toute transparence. Non seulement il est dans notre intérêt de faire preuve d'ouverture sur le monde en général, mais il est également important d'impliquer la communauté scientifique mondiale afin de toujours faire avancer la science.
Les produits sans combustion, donc sans fumée validés par la science peuvent faire une grande différence en matière de santé publique, même s’ils ne sont pas sans risque et délivrent de la nicotine, une substance addictive. Lorsque je regarde tout ce que nous avons réalisé jusqu'à présent, je ressens un profond sentiment de réussite.
Bien sûr, nous avons encore du chemin à parcourir. Nous continuerons à informer les organismes de réglementation, les scientifiques, les organisations de santé publique et les législateurs sur le potentiel des produits sans fumée. Nous continuerons à partager nos données scientifiques. Et nous continuerons à offrir des alternatives sans fumée aux fumeurs adultes du monde entier qui n’arrêtent pas de consommer des cigarettes. C'est un marathon, non un sprint, et cela s’inscrit dans la durée.
J'ai étudié la biologie, la biochimie, les mathématiques et l'informatique, et ai obtenu mon doctorat à l'université de Cambridge. En 2008, lorsque j'ai appris que Philip Morris International (PMI) construisait un nouveau laboratoire pour évaluer ses produits créés pour un avenir sans cigarette, j'ai dit : « J'en suis ».
Les résultats positifs des premières études sur les différences entre la fumée de cigarette et l'aérosol de nos produits sans combustion donc sans fumée, délivrant de la nicotine ont été très encourageants. Nous avons reçu tellement de résultats positifs, et pourtant nous n'étions encore qu'en phase de création. Et après ? Nous avons dû redoubler de courage : Ne vous inquiétez pas, regardez simplement les données.
La toxicologie systémique est un domaine de travail passionnant et dynamique, mais elle génère des téraoctets de données. En effet, elle allie la toxicologie standard à des techniques nouvelles et diverses pour nous aider à mieux comprendre l'impact des substances nocives sur l'organisme. Travailler avec de tels blocs de données est un véritable défi pour toutes les applications de la toxicologie systémique, et pas seulement pour la réduction des risques liés au tabac. C'est pourquoi nous partageons nos données et nos méthodes en toute transparence. Non seulement il est dans notre intérêt de faire preuve d'ouverture sur le monde en général, mais il est également important d'impliquer la communauté scientifique mondiale afin de toujours faire avancer la science.
Les produits sans combustion, donc sans fumée validés par la science peuvent faire une grande différence en matière de santé publique, même s’ils ne sont pas sans risque et délivrent de la nicotine, une substance addictive. Lorsque je regarde tout ce que nous avons réalisé jusqu'à présent, je ressens un profond sentiment de réussite.
Bien sûr, nous avons encore du chemin à parcourir. Nous continuerons à informer les organismes de réglementation, les scientifiques, les organisations de santé publique et les législateurs sur le potentiel des produits sans fumée. Nous continuerons à partager nos données scientifiques. Et nous continuerons à offrir des alternatives sans fumée aux fumeurs adultes du monde entier qui n’arrêtent pas de consommer des cigarettes. C'est un marathon, non un sprint, et cela s’inscrit dans la durée.