DR. GIZELLE BAKER - DIRECTRICE DE L'ENGAGEMENT SCIENTIFIQUE, PHILIP MORRIS INTERNATIONAL
En tant que scientifique ayant travaillé plusieurs années dans des sociétés américaines pharmaceutiques et de recherche dédiées aux traitements du cancer et des maladies cardiovasculaires, je suis d’avis que, malgré les progrès de la recherche en oncologie, la prévention reste préférable au traitement.
La meilleure façon de prévenir les maladies liées au tabagisme est d'arrêter complètement de fumer et de consommer de la nicotine, ou de ne jamais commencer. Cependant, nous savons que de nombreux adultes n’ arrêtent pas de fumer. C'est là que les alternatives sans combustion donc sans fumée peuvent compléter les mesures existantes destinées à décourager l'initiation et à encourager l'arrêt.
J'ai rejoint Philip Morris International (PMI) en 2012 et suis toujours aussi déterminée à bâtir un avenir sans cigarette, en développant des alternatives moins nocives, validées par la science pour ceux qui, sans elles, continueraient à fumer, donc à consommer des cigarettes.
Ces alternatives sans combustion donc sans fumée constituent un meilleur choix pour les hommes et les femmes qui n’arrêtent pas de fumer. En effet, bien qu'elles ne soient pas sans risque et qu'elles délivrent de la nicotine, une substance addictive, ces alternatives à la cigarette ne brûlent pas le tabac. La science a démontré que les substances chimiques produites par la combustion sont la cause première des maladies liées au tabagisme.
Il est frustrant de voir que, sur tant de sujets, le monde oublie de « suivre la science », surtout quand on sait qu'une récente enquête a révélé que 77 % des personnes interrogées dans 19 pays et territoires espèrent que les progrès de la science apporteront des solutions aux plus grands problèmes de la société. Nous sommes d'accord avec eux.
Pour réaliser les percées en matière de santé publique que la société exige et mérite, nous devons nous fier à la science.
En tant que scientifique ayant travaillé plusieurs années dans des sociétés américaines pharmaceutiques et de recherche dédiées aux traitements du cancer et des maladies cardiovasculaires, je suis d’avis que, malgré les progrès de la recherche en oncologie, la prévention reste préférable au traitement.
La meilleure façon de prévenir les maladies liées au tabagisme est d'arrêter complètement de fumer et de consommer de la nicotine, ou de ne jamais commencer. Cependant, nous savons que de nombreux adultes n’ arrêtent pas de fumer. C'est là que les alternatives sans combustion donc sans fumée peuvent compléter les mesures existantes destinées à décourager l'initiation et à encourager l'arrêt.
J'ai rejoint Philip Morris International (PMI) en 2012 et suis toujours aussi déterminée à bâtir un avenir sans cigarette, en développant des alternatives moins nocives, validées par la science pour ceux qui, sans elles, continueraient à fumer, donc à consommer des cigarettes.
Ces alternatives sans combustion donc sans fumée constituent un meilleur choix pour les hommes et les femmes qui n’arrêtent pas de fumer. En effet, bien qu'elles ne soient pas sans risque et qu'elles délivrent de la nicotine, une substance addictive, ces alternatives à la cigarette ne brûlent pas le tabac. La science a démontré que les substances chimiques produites par la combustion sont la cause première des maladies liées au tabagisme.
Il est frustrant de voir que, sur tant de sujets, le monde oublie de « suivre la science », surtout quand on sait qu'une récente enquête a révélé que 77 % des personnes interrogées dans 19 pays et territoires espèrent que les progrès de la science apporteront des solutions aux plus grands problèmes de la société. Nous sommes d'accord avec eux.
Pour réaliser les percées en matière de santé publique que la société exige et mérite, nous devons nous fier à la science.